Le salon du Soleil et la bibliothèque de l'Opéra Garnier, Paris

Visite de l'Opéra,  Garnier le 30 novembre 2023

Avant de passer au salon du Soleil et à la bibliothèque de l'Opéra Garnier suite de la visite du Grand Foyer :

Le Grand Foyer du côté de l'horloge et du salon du Soleil :

L'horloge du Grand Foyer n'indique pas l'heure mais le jour du mois, le jour de la semaine et le mois de l'année

Le Grand Foyer du côté de la Bibliothèque :

Chandelier, une des 4 présent dans le Grand Foyer, de style Louis XVI", également connus sous le nom de "Chandeliers aux chandelles". Ces lustres sont conçus dans un style néoclassique. Chaque chandelier aux chandelles est construit autour d'une structure centrale en fer forgé, qui soutient les branches en bronze doré ornées de bougies ou de chandelles. Ces branches sont souvent modélisées sous la forme de feuilles d'acanthe et se terminent par un groupe de bougies ou de chandelles.

Les bustes évoquent les différents types d'éclairage : bougie, huile, gaz et ici l'électricité.

Un des huit ou dix Lustre du Grand Foyer 

Porte donnant sur l'avant Foyer.

Le salon de la Lune et du Soleil :

Sur les voûtes du Salon de la Lune et du Salon du Soleil dominent, dans l'un, les tonalités froides de l'argent, avec des représentations d'oiseaux de nuit, hiboux et chauves-souris, et dans l'autre, les tons chauds de l'or, au milieu d'un décor de salamandres. Des miroirs étamés, les premiers de couleur froide et les seconds à dominante chaude, recouvrent respectivement leurs parois et se reflètent à l'infini pour former des « chemins de lumière ».

La bibliothèque-musée de l'Opéra Garnier :

La bibliothèque-musée de l’Opéra ne dépend pas de l’Opéra de Paris mais fait partie du département de la musique de la Bibliothèque nationale de France. 

La bibliothèque conserve près de 600 000 documents : livres, partitions, programmes etc. avec de prestigieuses partitions manuscrites autographes. Le musée rassemble quant à lui 8 500 objets divers.

Bibliothèque avec au fond la peinture "Mademoiselle Sandrini" dans le rôle de Lilia (1890) du peintre Édouard Debat-Ponsan.